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- Comment appliquer la méthode Eisenhower dans un outil collaboratif comme Interstis ?

Dans un monde professionnel où les tâches sont assez conséquentes, avec un rythme effréné. Il n'est pas rare de se sentir submergé par une liste de travail interminable. Il faut savoir prioriser, une compétence essentielle pour rester efficace et éviter le stress. C'est là que la méthode Eisenhower entre en jeu. Un outil simple mais puissant qui permet de distinguer ce qui est vraiment majeur de ce qui ne l'est pas, tout en tenant responsable de l'urgence. Aujourd'hui, elle s'intègre parfaitement aux pratiques modernes de gestion du temps et de management collaboratif, notamment grâce à des outils numériques comme Interstis.
Dans cet article, on vous explique comment utiliser la matrice Eisenhower pour mieux organiser votre travail en équipe, gagner en efficacité et réduire le stress lié à la surcharge de travail. L'objectif est de transformer votre organisation professionnelle en un modèle de clarté et de productivité.
Qu’est-ce que la méthode Eisenhower ?
Entre les notifications qui s'enchaînent, les e-mails urgents, les réunions de dernière minute et les objectifs à atteindre, ce n'est pas toujours simple de savoir par où commencer ni sur quelles tâches concentrer son énergie. Alors, comment savoir déléguer, traiter les priorités sans s 'éparpiller ? C'est précisément pour répondre à ce défi que la méthode Eisenhower a vu le jour. Imaginée par Dwight D., ancien président des États-Unis et général pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette matrice propose une approche claire et efficace pour organiser son travail. En classant chaque tâche selon son degré d'urgence et d'importance, cela permet de hiérarchiser ses priorités et d'optimiser la gestion de son temps. La matrice Eisenhower s'impose comme une référence incontournable pour gagner en efficacité et avancer sereinement vers vos objectifs.
Origine et principe
L'origine de cette matrice en quatre cadrans remonte à Dwight David Eisenhower, ancien président des Etats-Unis et commandant suprême lors du débarquement de Normandie. Son quotidien assez rythmé par des centaines de décisions à prendre, l'a poussé à réfléchir à un système clair pour ne pas se laisser dépasser. D'où cette fameuse citation devenue célèbre " Ce qui est important est rarement urgent et ce qui est urgent est rarement important". Ce modèle de matrice , qui a été pensé pour définir ce qui mérite réellement votre intérêt immédiate, repose sur deux axes bien distincts : Un axe horizontal qui mesure le degré d'importance d'une tâche et l'autre axe qui est vertical se traduit par son caractère urgent. En se rendant à l'idée, que lorsque qu'on croise ces deux notions, on obtient quatre catégories de quadrants. Ces catégories permettent de mieux gérer son emploi du temps et de savoir quoi faire, quand te comment.
Ce système permet de limiter la perte de temps réel sur des actions inutiles, garantir des lieux clés et à accompagner la transition vers une meilleure hiérarchisation. Que ce soit pour suivre l'avancement d'un dossier, de respecter une échéance ou simplement mieux gérer son emploi du temps. Ce modèle de matrice d'adapte à tous les niveaux et à chaque période de l'année permettant d'offrir un carde pratique pour optimisera la planification et la prise de décision.
Présentation de la matrice en 4 cadrans
La force de ce système réside dans sa capacité à structurer visuellement les différentes tâches en fonction de leur niveau d'importance et du temps dont on dispose. La matrice, conçue comme des colonnes à quatre zones, permet de visualiser en un clin d'œil la place de chaque tâches dans l'organisation du travail. Imaginez un cadran divisé en quatre parties, chacune correspond à une catégorie d'action bien précise. Chaque axe, l'un pour l'urgent et l'autre pour l'essentiel, permet à classer les activités selon leur effet sur le projet ou l'entreprise. Voici comment se répartissent les activités selon ces quatre cadrans :
Cadran 1 : Les tâches urgentes et importantes à traiter immédiatement
Ce sont les actions à exécuter sans délai. Elles sont crucial si une échéance qui tombe aujourd'hui, une intervention rapide ou un appel d'un client urgent. Ce sont tous les éléments qui demande un intérêt immédiate afin d'éviter les conséquences importantes. Il faut rester attentif et suivre de près l'évolution, en respectant les limites de temps accordé et mobiliser les bonnes ressources. L'avantage ici est de limiter le risque et de confirmer l'avancement rapide
Cadran 2 : Tâches importantes mais non urgentes à planifier avec soin
Ces éléments sont majeurs mais pas forcément à faire de suite. Ils sont souvent liées à la stratégie ou à l'amélioration de la fonction qui doivent être planifiées. On parle ici de tâches qui ont un impact réel sur le long terme comme la mise en place d'un nouveau service, l'amélioration de la fonction d'un processus ou la préparation d'une analyse stratégique à long terme. Ce quadrant demande une planification intelligente avec un délai réalistes et un bon suivi dans le temps. C'est souvent là que réside la valeur ajoutée d'un bon manager. Le fait de prendre le temps pour accomplir les demandes permet d'apporter un atout positif à l'entreprise.
Cadran 3 : Tâches urgentes mais peu importantes à déléguer ou transférer
Urgentes ? non, mais pas vraiment essentielles. Ce sont des activités à déléguer ou à traiter rapidement pour ne pas perdre de temps. Ces activités peuvent être confiées à un collaborateur. Cela peut être le fait de répondre à une demande mineure, traiter une demande d'information générique ou de suivre un lieu logistique. L'idée est de ne pad s'encombrer et de reporter l'attention sur ce qui compte vraiment. Se libérer de la place dans son emploi du temps pour se concentrer sur des actions plus stratégiques.
Cadran 4 : Tâches ni urgentes, ni importantes à éliminer ou à remettre en question
On va retrouver ici des tâches qui ne servent pas à grand choses vis-à-vis des objectifs professionnels, ni ceux de projet. Cela peut être un traitement d'un dossier non sollicité, des réunions sans enjeu derrière ou bien des éléments ou qui n'ont pas d'impact dans le développement de l'entreprise. Grâce à ce cadran, on peut reporter indéfiniment voire carrément abandonner ce qui encombre votre charge mentale. Un étape clé pour limiter le risque de saturation et de se concentrer sur l'essentiel.
Adopter une vue en Kanban, c’est un peu comme passer d’un carnet brouillon à un tableau de bord ultra clair. Chaque mission trouve sa place dans une colonne dédiée, selon son état d’avancement : à faire, en cours, ou terminée, par exemple. Ce système permet que chaque collaborateur ou manager de transition à repérer en un coup d’œil les missions à traiter rapidement, celles qui attendent un retour, ou encore celles qui sont prévues pour la prochaine étape.
Grâce à cette structure visuelle, il devient bien plus simple de répartir les rôles, d’anticiper les dates importantes et de s’assurer que rien ne passe à la trappe. Pour l’équipe, c’est aussi un vrai gain de moment et une manière d’améliorer la culture du suivi collectif, tout en gardant une vision globale sur l’avancement mois après mois. Au final, cette méthode transforme la gestion des missions en une expérience plus fluide, où chacun sait exactement où il en est et ce qu’il reste à accomplir.
Cette logique peut aussi être accompagné dans un logiciel collaboratif sous formes de tableaux avec des colonnes ou des axes visuels pour répartir chaque action selon son degrés d'attention. Cette matrice permet un mise en page claire, un gain considérable et une vision structurée du travail collectif.
Pourquoi utiliser la méthode Eisenhower en entreprise ?
Dans un projet, il est facile de se retrouver submergé par une liste d'activités à réaliser, de projets à suivre et de délais à respecter. Peut importe le statut, savoir ou donner de la tête devient vite un véritable défi. Et on se rend compte que l'on avance sans vraiment progresser et la charge s'accumule. C'est à ce moment la que la matrice popularisée par le président Dwight et le général Eisenhower prennent tout leur sens. En structurant sa liste de missions selon des critères précis, on peut avancer plus vite et sereinement dans chaque étape mais aussi éviter de perdre des moments sur des actions inutiles.
Mieux prioriser ses tâches
Pour mieux avancer dans ses missions, il est majeur de savoir donner le bon endroit à chaque tâche. Quand plusieurs demandes arrivent en même temps, il peut être tentant de tout effectuer dans le désordre. Pourtant avec un peu de méthode, il est possible de faire mieux avec une durée courte. Pour cela, il faut commencer par repérer les tâches qui ont un impact clair et concret. En distinguant des missions qui doit être exécuté en premier de ce qui peut attendre. Alors, vous éviterez de vous disperser sur des lieux secondaires ou inutiles. Certains vont s'appuyer sur des outils visuels bien connus, comme le diagramme de Gantt ou des approches tels que les analyses ABC. Ces modèles aident à structurer et conseil votre plan d'action et à donner un maximum de lisibilité sur ce qu'il faut analyser en premier. A chacun sa manière de construire un aménagement fluide et réaliste sans perdre de vue ce qui mérite vraiment votre attention.
Gagner en efficacité
Pour mieux avancer au quotidien, il est utile de structurer ce que vous avez à faire. En répartissant bien vos efforts sur la semaine. Cela permet d'éviter les pertes des moments et de garantir un développement régulier , que ce soit dans la vie personnelle ou au cours d'un projet. L'un des facteurs clés, c'est aussi de créer des routines, en utilisant des moyens direct de recherchent, de rappels. Afin de tirer parti de solutions numériques avec Google ou un autre logiciel. On constate une véritable culture d'amélioration continue, permet à mieux gérer son temps de travail et à prioriser les tâches selon leur importance.
Réduire le stress lié à la surcharge de travail
Quand tout s'accumule, il devient difficile de rester concentré afin de retrouver un rythme de travail plus serein. Pour assurer un bon équilibre, il est utile de structurer les priorités et de limiter ce qui vous disperse. En s'appuyant sur la matrice de criticité, chacun peut mieux visualiser la zone sur laquelle chaque collaborateurs doit se concentrer. Au fur et à mesure, ce système permet de garantir que rien n'est oublié en cours de route et que chaque missions trouve l'endroit dans le planning collaboratif. Finalement, ce sont ces petits ajustements qui sont davantage sereinement tout en gardant le contrôle sur ses missions et en préservant son équilibre personnel.
Comment utiliser la méthode Eisenhower dans un outil comme Interstis ?
Création de tâches dans l’outil
La création d'une nouvelle missions ou demande arrive rapidement, il faut le noter vite pour ne pas l'oublier. Aujourd'hui, la plupart des outils de gestion permettent de créer une entrée claire, facile d'accès, sécurisée et fiable. Ce réflexe permet de garder une trace de chaque étape, d'éviter les oublis et de structurer la continuité du projet sur plusieurs mois ou années. C'est une étape clé dans la clarté du travail. En quelques instant, l'utilisateur peut préciser ce qu'il souhaite effectuer. Il peut également rajouter des codes ou des rappels pour faciliter le suivi et aider l'équipe à prioriser les tâches selon l'axe vertical de la matrice de criticité. L'objectif, c'est d'optimiser le travail efficacement et offrir une meilleure visibilité sur l'ensemble du projet tout en posant les bases d'une organisation solide et évolutive.
Utilisation des étiquettes ou priorités pour classer les tâches
Attribuer une étiquette à chaque mission est un réflexe qui change tout. Cela permet en un instant d'apporter une lecture plus claire de ce qui doit être fait et dans quel ordre. Une astuce pour chaque individu qui relève un suivi sur le long terme ou encore qui concerne un domaine spécifique du projet. Avec l'aide des couleurs à chaque type d'activité ou bien utiliser des mots clés, facilite la recherche d'informations, le partage d'avis et le respect des dates importantes. Cette aménagement rend la communication plus fluide et aide à améliorer la culture de l'équipe. C'est un moyen direct d'accélérer la prise de décision, de mieux répartir les missions et d'assurer une meilleure coordination tout au long de l'année.
Vue en tableau ou Kanban pour visualiser les urgences
Avoir une vue en Kanban ou en tableau, c'est un peu comme un carnet de brouillon à un tableau de bord très carré. Chaque mission trouve son endroit dans une colonne dédiée et structurée. Avec un statut, à faire, en cours ou terminé, ce système aide chaque collaborateur ou manager à repérer en un coup d'œil les missions à analyser rapidement. C'est un gain de lisibilité surtout quand on jongle avec plusieurs sujets. Ca évite les confusions et permet de réagir rapidement si besoin. Cette méthode, souvent adoptée en management de transition, transforme la gestion des missions en une expérience plus fluide où chacun sait exactement où il en est et ce qu'il reste à accomplir.
Intégration à l’agenda collaboratif
Ajouter ses repères dans un agenda partagé, est un vrai plus afin de fluidifier la coordination au quotidien. En synchronisant tous les évènements dans un calendrier partagé, tout le monde peut repérer en un clic ce qui est prévu dans la semaine ou dans le mois à venir. En quelques secondes et clics, on peut inscrire une note, une entrée ou joindre une annexe utile. Cette façon permet d'ajuster facilement les plannings avec des retours ou imprévus afin d'assurer un suivi collectif efficace. C'est un véritable fil conducteur pour mieux respecter les engagements pris afin d'échapper les oublis.
Exemple de priorisation des tâches avec la matrice Eisenhower
Imaginons une équipe en pleine préparation de lancement d'un nouveau produit. Dès le début, chaque membre va identifier les missions à mener. Cela peut être la validation du contenu, finaliser le cahier des charges, valider le design, rédiger les contenus ou encore organiser la communication autour du lancement. Pour s'y retrouver, l'équipe décide d'attribuer des codes couleur à chaque mission selon leur niveau d'urgence et d'impact. Les missions se déterminent par les couleurs. Le rouge vont être pour un état critique pris en charge en priorité, puis ensuite vient le oranges, à analyser dans la foulée tandis que le bleu est une planification pour plus tard. Ce tri permet d'y voir plus clair et de gagner en fluidité au fil de jours. Grâce à cette organisation, chacun sait où concentrer ses efforts dans les jours à venir. Grace à ça, le service est prêt dans les temps, le client est satisfait et l'équipe a travaillé de façon plus sereine et structurée.
Astuces pour combiner méthode Eisenhower et gestion collaborative
Réunions de priorisation
Pour avancer ensemble dans la bonne direction, il faut rassembler les bonnes personnes autour d'un sujet qui permet d'y voir plus clair. Ces moments d'échanges servent à faire le point sur ce qui attend chaque membre du groupe et les priorités de chacun. Ce point est l'occasion de faire remonter la communication notamment les doutes et les questionnement de chacun. Chaque collaborateurs communiquent sur les objectifs et attentes, ajuster les délais si besoin. Ils s'assurent que tout le monde est aligné sur les priorités du moment. En adoptant cette habitude, on favorise la transparence et la cohésion d'équipe, en limitant tout risques. Ces échanges réguliers permettent de gagner en fluidité, d'accélérer le collectif et d'installer une vraie dynamique au travail.
Notifications intelligentes
Recevoir un appel au bon moment peut faire toute la différence. Au lieu de tout retenir, ses alertes permettent de rester concentré sur l'essentiel, sans se laisser envahir. Que ça soit, un message, un signal visuel ou un simple badge. L'idée est d'être informé sans être dérangé en permanence. On peut adapter le système de fréquence de notification en fonction de vos préférences. Il y a moins de dispersion mais plus de fluidité et une meilleure façon d'avancer au bon rythme.
Partage de responsabilités
Répartir qui fait quoi, c'est souvent ce qui permet d'avancer plus sereinement et rapidement. Cela va passer par la délégation où chacun se voit confier des missions en fonction de ses compétences. Il y a aussi par une communication ouverte pour s'assurer que tout le mone comprend bien son rôle et ce que l'on attend. Cela évite les confusions, les doublons ou les oublis. Que ce soit à l’oral, via un espace numérique partagé ou un simple document, le fait de clarifier les engagements dès le départ facilite la coordination. Et en cas de besoin, tout le monde peut facilement reprendre le relais ou apporter un coup de main.
Conclusion
Dans un quotidien où tout semble arriver en même temps, apprendre à mieux s’organiser devient essentiel. La logique inspirée par Eisenhower reste un excellent repère pour trier, structurer, et avancer avec plus de clarté. Elle ne révolutionne pas tout, mais elle change beaucoup. Et quand cette approche est intégrée directement dans une plateforme comme Interstis, c’est encore plus fluide. Tout est centralisé, visible, et partagé : plus besoin de jongler entre les outils. On gagne en cohérence, on réduit les frictions, et chacun peut contribuer à sa manière, sans se perdre dans les priorités des autres. Une bonne stratégie ne tient pas à la complexité d’un système, mais à sa capacité à rassembler les bonnes personnes au bon endroit.

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